Pour célébrer l’année « France-Russie », Günter Neuhold nous invite à redécouvrir deux pages fondatrices de la modernité russe : si L’Oiseau de feu révélait à Paris le génie du jeune Stravinsky, c’est son ainé Rimski-Korsakov qui lui avait ouvert la voie, inventant avec Shérérazade une splendeur orchestrale et une liberté narrative simplement inouïes. Une fenêtre ouverte sur un Orient revisité où tous les pupitres de l’orchestre chantent à tour de rôle de voluptueuses mélopées.
NIKOLAÏ RIMSKI-KORSAKOV
Shéhérazade, suite symphonique op. 35
IGOR STRAVINSKY
L’Oiseau de feu
Orchestre Philharmonique de Nice
Violon solo Vera Novakova
Direction musicale Günter Neuhold
Ce message est également disponible en : Russe